• J'ai vu ce tag consacré à Doctor Who sur la chaîne youtube de Charlie McDonnell et il m'a bien plu happy Je me suis empressée de le traduire (il ne concerne que la nouvelle série, débutée en 2005) :

     

    1- Quel est ton Doctor préféré ?

    Ten et Eleven sont coude à coude ! Ils arrivent presque ensemble à la fin de la course ! Oh ! Mais c'est prodigieux, Eleven parvient à accélérer et franchit la ligne d'arrivée !!! Il devance de peu Ten !

     

    2- Quel est ton épisode préféré ?

    Vincent et le Doctor (épisode 10, saison 5) ou Agatha Christie mène l'enquête (épisode 7, saison 4)

     

    3- Quel est ton compagnon préféré ?

    Sans aucun doute il s'agit de Donna ! J'adore son caractère, son humour, son enthousiasme. Amy suit de près Donna.

     

    4- Quel est le tout premier épisode que tu as vu ?

    Il s'agit du Labyrinthe des Anges (4ème épisode de la saison 5), qui m'a fait me rendre compte que non, Doctor Who n'est pas une série médicale... C'était il y a 3 ans et demi.

     

    5- Quelle est ta saison préférée ?

    J'hésite entre la saison 4, avec Ten et Donna, et la saison 6, avec Eleven, Amy et Rory.

     

    6- Quel est ton méchant ou monstre préféré ?

    The Master !! (et ceux qui m'effraient le plus sont les Anges Pleureurs)

     


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    Outlander - Tome 2 : Le Talisman, de Diana Gabaldon

    Le résumé :

    Dans ce deuxième tome, Claire et Jamie vont désespérément tenter d'empêcher la bataille de Culloden (1746), qui a vu s’affronter les Highlanders du côté du prince Jacques Stuart, prétendant au trône d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande, et les Dragons rouges du roi régnant de Grande-Bretagne, George II. Cette mission qu'ils se sont donnée va notamment les emmener à Paris à la cour de Louis XV.

     

    Mon avis :

    Il est difficile de donner un avis sans spoiler ceux qui n'ont pas lu le 1er tome... Du coup, je vous mets en garde, il y a quelques SPOILERS...

    ...

    ...

    ...

    Toujours là ?

    Bien, alors je vous révèle mon avis wink2

    Durant les premiers chapitres, j'ai été assez perplexe. En effet, le livre commence directement avec Claire et sa fille Brianna, 20 ans, en 1968... Si c'est pas un énorme spoiler de la part de l'auteur ça ???? J'étais assez frustrée par cette nouvelle qu'on apprend d'emblée ! Claire se met alors à raconter comment elle est revenue au XXe siècle, et cela fait en fait l'objet du tome 2. Mais rassurez vous, continuez votre lecture, vous ne serez pas déçu... On retrouve alors Jamie et Claire en France, en 1744.

    Avec ce tome, mes émotions ont été encore plus brinquebalées qu'avec le précédent ! De la colère, de la douleur, de la haine, de la passion, du désir, de l'amour, du souffle épique, et j'en passe ! Tout ça habilement entremêlés, jusqu'à la fin où tout explose !

    J'ai été encore plus attachée aux personnages, et j'ai découvert avec plaisir le petit Fergus, qui est frappée d'admiration devant Jamie.

    De la même façon que le tome 1, celui-ci est extrêmement bien documenté, que ce soit la vie à la cour de France, celle sur un champ de bataille en Écosse, les transactions marchandes sur un port, l'organisation d'un hôpital pour indigents, etc. J'ai été fascinée !

     

    Une fois arrivé à la fin, on pardonne très vite à Diana Gabaldon ce début qui aurait pu tout gâcher !

     

    Attention, SPOILER pour ceux qui n'ont pas lu ce tome 2 (il faut sélectionner le texte invisible en dessous pour le voir) :

    Encore une fois, j'ai été très gênée par une chose : Jack Randall. La relation qu'il a avec Claire, ainsi que les fois où il est en présence de Jamie me dérangent... C'est un peu malsain comme comportement à mon sens... Je trouve Jamie et Claire assez posés par rapport à ce qu'il a fait (bon, certes Jamie la castré, mais passons ^^).

    Fin du SPOILER

     

    En résumé, malgré un début qui a failli me décevoir, je suis encore plus sous le charme de cette saga ! Comme certains ont pu le voir sur la page Facebook, je suis véritablement dans une période écossaise en ce moment : après m'être achetée un plaid façon tartan pour mettre sur les épaules, je me suis achetée une jolie nappe en toile cirée effet tartan, ainsi que des verres à whisky ! (sans compter le livre sur l'histoire d'Écosse dont je parlais dans le billet sur le tome 1 d'Outlander) Si la réédition du tome 3 était déjà sortie, j'aurais à coup sûr enchaîné avec ! Je suis tellement impatiente qu'il sorte ! Il me faut ma dose de Highlander en kilt ;-) Bref, ces deux premiers tomes sont un énorme coup de cœur pour moi !

     

     

     


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  • Deux mois que je n'ai rien posté... Ce n'est pas que je n'ai rien lu, c'est que l'envie d'écrire des avis n'était pas là. Alors pourquoi se forcer hein ? wink2

    J'ai une drôle de manie : je ne lis que des livres qui m'appartiennent ; la dernière fois que j'ai emprunté un livre à la bibliothèque, ça devait être il y a une dizaine d'années. J'aime choisir mes livres ; souvent en fonction de mon budget bien sûr, mais aussi, quand je peux, en fonction de l'édition : puisque le bouquin sera rangé dans une bibliothèque qui peut être vue par plusieurs personnes (surtout par moi :-D ), autant qu'il soit beau et qu'il participe à la décoration. Le livre est pour moi un objet d'art, et je possède plusieurs éditions d'un même roman, rien que parce que j'ai craqué sur une édition. J'aime le sortir de son étagère, le feuilleter, le regarder, puis le ranger.

    Je vous propose donc, à travers un certain nombres d'articles, de vous présenter certaines belles éditions que je possède.

    Je commence aujourd'hui avec une édition anglaise de The Hobbit, de Tolkien smile, publiée par Harper Collins. Il s'agit de la réédition, sortie en 2007, d'une édition de 1995. J'ai lu Le Hobbit en français à deux reprises jusqu'à présent, et j'ai adoré l'univers de Tolkien. Il fait sans aucun doute partie de mon top 10 de mes romans favoris, et je voulais l'avoir dans sa version originale. Mon choix s'est porté sur cette édition donc.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La couverture est dure (hardback) et recouverte d'une jaquette qui est un fac-similé de l'édition originale de 1937.

     

     

     

     

     

     

    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

    Une fois la jaquette retirée, on découvre une première de couverture  noire, toute simple (la quatrième de couverture est identique).

    Sur le dos du livre, se trouve un symbole (elfique si je ne me trompe pas ?), le titre, le nom de l'auteur ainsi que l'éditeur, imprimés d'une couleur dorée.

    Passons à l'intérieur de l'ouvrage : il y a un total de 300 pages.

     

     

     

     

     

     

    Avec et sans la jaquette

    L'histoire est ponctuée de reproductions d'illustrations, réalisées par Tolkien himself. Certaines sont en noir et blanc, d'autres en couleurs (ces dernières sont sur un papier glacé).

    Les dernières pages, avec une carte de la forêt de Mirkwood :

    Rangé debout dans une bibliothèque, le livre mesure approximativement 15 cm de profondeur, 23 cm de hauteur et 2,7 cm d'épaisseur.

    Je trouve cette édition magnifique ! Elle trouve parfaitement sa place dans ma collection happy. Je l'ai commandé sur The Book Depository, site où il y a en permanence des réductions sur les livres (qui sont majoritairement en anglais) et la livraison est gratuite (même pour la France oui oui cool).


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  • Princesse Sara - tome 6 "Bas les masques !"

    (texte d'Audrey Alwett, dessins de Nora Moretti, couleurs de Marina Duclos)

    Petit rappel : les 4 premiers tomes sont une adaptation du roman La Petite Princesse de F. H. Burnett ; les suivants sont une suite, créée de toute pièce par les auteurs.

     

    Le résumé :

    Depuis le tome précédent, Sara se fait passer pour une certaine Émilie, pour pouvoir travailler incognito dans les anciennes usines d'automates de son père (anciennes usines Crewe), qui ont été reprises par Mr. Delatour. Dans le même temps, elle joue son propre rôle d'héritière des usines Crewe, mais cache son visage pour ne pas être reconnue. Sa double identité est parfois difficile à gérer.

     

    Mon avis :

    C'est avec plaisir que j'ai retrouvé cette BD, plus d'un an après ma lecture du tome 5. Les dessins me transportent toujours autant. J'aime beaucoup le petit clin d'oeil à l'une des tenues que porte Audrey Hepburn dans My Fair Lady (celle que porte Sara sur la couverture). Pour ce qui est de l'histoire, il est vrai qu'elle n'avance pas beaucoup dans le fond, mais elle m'a bien plu ; elle reste très divertissante et fait passer par plusieurs sentiments.

    Princesse Sara - tome 6 "Bas les masques !"

     

    Première participation au challenge "Le mélange des Genres", de Miss Léo, dans la catégorie "BD et roman graphique" !

    Princesse Sara - tome 6 "Bas les masques !"


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  • Le résumé :

    Barry Fairbrother, membre du Conseil paroissial de la  petite ville de Pagford, meurt subitement. Sa place de conseiller est à prendre ; des élections sont organisées. Le défunt père de famille était un farouche défenseur de la cité des Champs et de la clinique de désintoxication de Bellchapel, que ses opposants souhaitent voir disparaître de leur village.

     

    Mon avis :

    C’est avec, en fond, cette querelle pro/anti cité des Champs, que l’histoire se développe. On rencontre des personnages hypocrites, cruels, violents, lamentables. Ils sont tous des stéréotypes assez négatifs : la femme soumise à son mari qui cogne et insulte leurs enfants ; le fils qui se rebelle contre ses parents et contre la société, en quête de ce qu’il appelle être « authentique » (être sans remord, faire fi de son éducation, etc.) ; la femme transis d’amour qui a déménagé pour son compagnon, qui prend peur et cherche comment la quitter ; le « vieux » pagfordien, qui se prend pour le roitelet de la ville, et sa femme qui n’a d’yeux que pour lui ; la mère qui rabaisse sans cesse sa fille, qui est harcelée à l’école et qui en vient à se scarifier ; la mère toxico et sa fille à problèmes qui doit s’occuper de son petit frère, etc.

    C’est un roman bien différent de ce que nous avait habitué J. K. Rowling avec Harry Potter. On peut toutefois faire une analogie avec l’enfance misérable. Elle a écrit ici quelque chose de noir, de sans pitié, de cru, une « satire féroce ». C’est vraiment difficile de trouver une once de compassion pour les personnages. Les seuls qui m’ont paru les plus aimables sont le conseiller décédé et sa veuve…

    J’ai ressenti un malaise étrange tout au long de ma lecture, et je suis bien contente de l’avoir enfin terminée (avec une fin qui m’a encore plus chamboulée), car elle me pesait beaucoup. Mais je suis tout de même allée au bout parce que de un, je n’aime pas vraiment arrêter un livre en court de route, et de deux, parce que justement, il ne m’a pas laissé indifférente, il m’a fait réagir. Ce n’est pas une histoire qui m’a déçue, bien au contraire. Mais c’est un livre qui m’a déconcerté, qui m’a marqué comme peu l’ont fait jusqu’à présent.


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