• Deux mois que je n'ai rien posté... Ce n'est pas que je n'ai rien lu, c'est que l'envie d'écrire des avis n'était pas là. Alors pourquoi se forcer hein ? wink2

    J'ai une drôle de manie : je ne lis que des livres qui m'appartiennent ; la dernière fois que j'ai emprunté un livre à la bibliothèque, ça devait être il y a une dizaine d'années. J'aime choisir mes livres ; souvent en fonction de mon budget bien sûr, mais aussi, quand je peux, en fonction de l'édition : puisque le bouquin sera rangé dans une bibliothèque qui peut être vue par plusieurs personnes (surtout par moi :-D ), autant qu'il soit beau et qu'il participe à la décoration. Le livre est pour moi un objet d'art, et je possède plusieurs éditions d'un même roman, rien que parce que j'ai craqué sur une édition. J'aime le sortir de son étagère, le feuilleter, le regarder, puis le ranger.

    Je vous propose donc, à travers un certain nombres d'articles, de vous présenter certaines belles éditions que je possède.

    Je commence aujourd'hui avec une édition anglaise de The Hobbit, de Tolkien smile, publiée par Harper Collins. Il s'agit de la réédition, sortie en 2007, d'une édition de 1995. J'ai lu Le Hobbit en français à deux reprises jusqu'à présent, et j'ai adoré l'univers de Tolkien. Il fait sans aucun doute partie de mon top 10 de mes romans favoris, et je voulais l'avoir dans sa version originale. Mon choix s'est porté sur cette édition donc.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La couverture est dure (hardback) et recouverte d'une jaquette qui est un fac-similé de l'édition originale de 1937.

     

     

     

     

     

     

    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

    Une fois la jaquette retirée, on découvre une première de couverture  noire, toute simple (la quatrième de couverture est identique).

    Sur le dos du livre, se trouve un symbole (elfique si je ne me trompe pas ?), le titre, le nom de l'auteur ainsi que l'éditeur, imprimés d'une couleur dorée.

    Passons à l'intérieur de l'ouvrage : il y a un total de 300 pages.

     

     

     

     

     

     

    Avec et sans la jaquette

    L'histoire est ponctuée de reproductions d'illustrations, réalisées par Tolkien himself. Certaines sont en noir et blanc, d'autres en couleurs (ces dernières sont sur un papier glacé).

    Les dernières pages, avec une carte de la forêt de Mirkwood :

    Rangé debout dans une bibliothèque, le livre mesure approximativement 15 cm de profondeur, 23 cm de hauteur et 2,7 cm d'épaisseur.

    Je trouve cette édition magnifique ! Elle trouve parfaitement sa place dans ma collection happy. Je l'ai commandé sur The Book Depository, site où il y a en permanence des réductions sur les livres (qui sont majoritairement en anglais) et la livraison est gratuite (même pour la France oui oui cool).


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  • Dominium Mundu - Livre II, de François Baranger

    Le résumé :

    Les Croisés ont enfin débarqué sur Akya du Centaure ; leur camp de base élevé à grande vitesse, ils peuvent désormais se concentrer sur ce pourquoi ils ont fait ce long voyage : libérer le tombeau du Christ et exterminer jusqu’au dernier les autochtones, le peuple Atamide. Parallèlement, cent inermes (les enrôlés de force), sous la conduite d’Albéric, s’échappent et s’installent dans un réseau de grottes de la planète. Quant à Tancrède, ses doutes reviennent assez vite, avec force, et il prend la décision de fuir, lui aussi, et de tenter de sauver les Atas.

    Au cours de cette colonisation, de lourds secrets sont révélés, prennant la forme d’un véritable cataclysme sur le monde chrétien…

     

    Mon avis :

    … Mon coup de cœur du premier tome se confirme encore plus avec ce deuxième et dernier volet ! Wahou ! Quelle épopée !

    Alors que le livre I était un huis-clos à grande échelle (à bord du vaisseau croisé, le Saint-Michel), le livre II est une vaste étendue à travers les plaines arides d’Akya, ses failles forestières, ses cavernes, ses plateaux. La description de la planète est très réaliste ; on sentirait presque les souffles d’air chaud et la lourde pluie tomber sur nous. Le décor de ces tout nouveaux paysages est donc bien planté, et tout le long du récit, on s’étonne avec les personnages de la diversité environnementale.

    Lors des premiers contacts (certes violents) avec les Atas, nous, lecteurs, n’en savons pas plus sur eux que les Croisés eux-mêmes. J’avoue avoir eu peur que notre connaissance s’arrête là. Mais cette crainte s’est vite dissipée à partir du moment où Tancrède établi un rapprochement. Nous sommes alors vite immergés dans de nouveaux us et coutumes. Toutefois, il y a quelques points qui se rejoignent, entre un humain et un Atamide.

    L’histoire tourne beaucoup autour de la foi ; foi qui éblouie tellement les yeux que tout discours ou pensée rationnel, logique, est inconcevable pour la personne. Et quand ces rayons éclatants (dirigés par un faible nombre de personnes aux commandes) touchent des masses, cela conduit à des atrocités, au nom de Dieu. Il y a toute une réflexion autour de ça dans Dominium Mudi, que je trouve très intéressante. Il y a bien entendu un certain nombre de parallèles à faire avec notre condition actuelle (qui, au fond, n’a pas vraiment changé depuis des centaines d’années). Tous ces échos nous reviennent avec la violence d’un boomerang. Il s’agit certes d’une fiction ici, mais elle ne se contente pas de nous raconter une histoire, elle nous fait réfléchir sur beaucoup de choses (outre la religion et ses extrémismes, on est confronté à la destruction de la nature, aux folies du pouvoir, aux conflits, …).

    Je reprends, comme dans mon avis sur le premier livre, un mot de l’auteur, qui résume très bien : « […]constat à la fois évident et quelque peu déprimant, que l’histoire se répète inlassablement, y compris – et surtout – dans ses aspects les plus négatifs ».

    Je ne veux pas en dire beaucoup plus ; je n’aurai pas spoilé wink2, mais je veux vous laisser le même plaisir que j’ai eu à découvrir l’histoire, page par page. C’est une fresque que je n’oublierai pas de sitôt. Seulement 2 ou 3 fois, en 1400 pages, j’ai cru être déçue. Je dis bien « j’ai cru », car à chaque fois, ça s’est révélé être une crainte trop hâtive. J’ai aimé découvrir ce nouveau monde, rire avec les personnages, être triste avec eux, être en colère contre l’absurdité des discours des fanatiques, me sentir pleinement satisfaite lorsque j’ai tourné la dernière page. Un véritable coup de cœur comme j’en ai rarement eu. Merci Mr. Baranger.

     

    Trois citations que j’ai relevées, pour finir :

    « Le comportement des hommes était le plus souvent dicté par les rapports de forces, chaque individu cherchant à dominer son environnement, depuis l’enfant tourmentant un animal par simple méchanceté jusqu’aux chefs militaires qui détenaient le droit de vie ou de mort sur des milliers d’individus. » (p. 446)

    « J’ai toujours considéré qu’en fin de compte, le pouvoir ne se résume qu’à ses attributs. Qu’on vous les retire et même l’homme le plus puissant du monde redevient un pauvre hère. » (p. 790)

    « Trop de gens, dont moi-même probablement, attendent que le bonheur leur tombe dessus sans même penser à le chercher. Or, je crois sincèrement que si l’on ne décide pas que l’on peut être heureux, alors on a peu de chances de l’être un jour. » (p. 792)

     

    Dominium Mundu - Livre II, de François Baranger


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  • Une recette de muffins aux myrtilles ce soir, que j'ai testée en prévision du dessert pour mon anniversaire ^^  (l'originale est ici, mais l'ayant un peu modifiée, je vous fais part ici de mes changements).

    Les ingrédients : (la recette que j'ai suivi dit "pour 12 muffins", j'ai pu en faire 18 gros)

    -100g de beurre mou

    -150g de sucre

    -2 oeufs

    -360g de farine

    -1 sachet et demi de levure chimique

    -1 grosse pincée de sel

    -250ml de lait demi-écrémé

    -3 cc d'extrait de vanille liquide

    -200g de myrtilles fraîches (j'étais partie pour en acheter des surgelées, mais j'en ai trouvé des fraîches !! happy)

    -de la cannelle en poudre

    (la recette que j'ai suivie ajoute un "topping" façon crumble, que je n'ai pas fait)

     

    Les étapes :

    -Préchauffer le fous à 190°C

    -Dans un grand récipient, mélanger au batteur électrique le beurre presque fondu avec le sucre. Puis ajouter les 2 oeufs en mélangeant entre chacun des ajouts. On doit obtenir une pâte onctueuse et bien aérée.

    -Dans un autre récipient, mélanger la farine, la levure et le sel.

    -Incorporer le tiers de la farine/levure/sel dans le grand récipient. Mélanger avec le batteur. Ajouter un peu de lait. Mélanger. Rajouter le deuxième tiers de la farine/levure/sel. Mélanger. Etc. Une fois tout mélangé, la pâte est homogène et quasi crémeuse.

    -Ajouter la vanille et la cannelle. Mélanger.

    -Ajouter à l'aide d'une maryse les myrtilles, sans les écraser (elles éclateront à la cuisson en libérant leur jus wink2).

    -Verser la pâte dans des moules à muffins/cupcakes (jusqu'à 0,5cm du haut).

    -Cuire 25 minutes (au bout de ce temps, vérifier la cuisson en plantant un couteau dans les muffins ; s'il ressort sans pâte accrochée dessus, c'est que c'est bon smile . Sinon, poursuivre la cuisson quelques minutes).

    -Démouler au bout d'environ 5 minutes.

    -Déguster ! Le muffin est bien moelleux ^^

     

    Remarques :

    La recette originale met 185g de sucre ; pensant que ça serait trop avec les myrtilles, je n'en ai mis que 150g. Cependant, les myrtilles, bien que fraîches, n'étaient pas si goûtues que ça frown. Plus de sucre aurait donc été nécessaire ; peut-être même de la cassonade happy

    Les muffins sont sortis du four un peu pâlichons... Pensez à ajouter un peu de jaune d’œuf sur le dessus, à mi-cuisson.


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  • J’ai découvert ce livre tout à fait par hasard, sur l’étal d’une librairie, sans en avoir jamais entendu parlé. J’ai été attiré par la couverture : le Big Ben avec comme titre « Black-Out » ; j’ai lu le résumé, et je ne me suis pas posé de question : « ok c’est lui que je prends ! ».

     

    Le résumé :

    En 2060, les historiens voyagent dans le temps, pour être au plus près des évènements. Il n’y a pas de risque qu’ils changent le cours de l’Histoire puisque la machine qui les envoie évite tous les « points de divergence », ces moments si critiques qu’un battement d’ailes de papillon imprévu pourrait faire basculer les choses. Les voyageurs dans le temps connaissent, avant de partir, le lieu, la date et l’heure de leur « atterrissage ». Cela en théorie : en effet, les étudiants envoyés durant la Seconde Guerre Mondiale posent pied avec des décalages plus ou moins grands. Pire, lorsqu’ils veulent rentrer au XXIe siècle, leur lieu de transfert semble ne plus fonctionner, les laissant à eux-mêmes, au cœur d’une époque dangereuse qui n’est pas la leur. Plus ils y restent de temps, plus ils risquent de modifier l’Histoire…

     

    Mon avis :

    Cette lecture est presque un coup de cœur ! Presque, car il y a un certain nombre de longueurs. J’y reviendrai.

    L’histoire est vraiment très bien documentée. Moi qui savais vaguement ce qu’était le « blitz », j’en sais désormais beaucoup plus ! On côtoie, comme les étudiants voyageurs, les londoniens durant ces événements. Il n’y a pas que le blitz : un étudiant, Michael est censé observer le rapatriement des soldats à Douvres, une autre, Merope (qui se fait appeler Helen, car Merope est peu usité dans les années 40),  pour être avec des enfants londoniens évacués à la campagne dans une grande demeure.

    Tout est fait pour que l’historien coure le moins de risque possible : durant le Blitz à Londres, une étudiante, Polly, s’est vu remettre une liste des pensions à éviter, des grands magasins (pour lesquels elle devra travailler pour lui servir de couverture) qui ont été bombardés et donc qu’il faut aussi éviter, des heures des débuts et fins des alertes bombardements, etc.

    Il est possible qu’un point de transfert ne s’ouvre pas si une personne étrangère au voyage dans le temps est susceptible de voir la lumière que cela produit.

    On vit véritablement les angoisses de ces jeunes qui se retrouvent coincés.

    L’une des étudiantes se répète sans cesse : « si mon point de transfert ne marche pas, c’est que quelqu’un peut voir la lumière ; si l’équipe de récupération tarde à venir me chercher, c’est qu’elle ne sait pas où je me trouve ; oui mais on parle de voyage dans le temps ; ils peuvent très bien mettre des années à essayer de me localiser, ils pourront toujours m’apparaître 5 minutes plus tard à peine ». Cette répétition devient assez lourde à la fin…

    A part ce détail, pourquoi « presque » un coup de cœur ? Et bien parce qu’au bout de la 150ème page, je ne comprenais toujours pas le pourquoi du comment. Trop d’histoires en parallèle, trop de personnages, certains qu’on ne voit plus pendant 100 pages, le sentiment qu’il n’y a pas d’intrigue principale. J’ai failli abandonner ma lecture. Heureusement que j’ai fait part de ses questionnements sur la page Facebook : Miss Léo Lecture m’a répondu que toutes ces intrigues finissaient par devenir cohérentes, petit à petit. J’ai donc poursuivi et grand bien m’en a fait ! J’ai de plus en plus adoré ! Et effectivement, les petites histoires sont, au final, sur une même ligne directrice.

    La fin du tome s’arrête nette : en effet, il y en a un deuxième, All Clear, qui est déjà sorti en grand format, mais j’attends avec impatience sa sortie en poche (l’année prochaine ?) !

    Pour résumer : ne vous arrêtez surtout pas au bout de la 200ème page ! Persévérez, vous en serez récompensé ;-)


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  • Attention, billet nostalgie !

    J'ai trouvé ce tag bien sympathique sur la chaîne youtube de Margaud Liseuse, et je me permets de le reprendre et d'y répondre ici smile Il s'agit de questions relatives aux années 90 !  Je m'y retrouve bien, étant née en 1990 même ! J'y réponds comme si j'étais encore dans cette décennie, sans prendre en compte bien sûr mes goûts actuels (bien que certains n'aient pas changé haha).

     

    1. Film Disney préféré ?

    Dur de choisir ; peut-être Hercule, Pocahontas ou Le Bossu de Notre-Dame. Côté film, très probablement Mary Poppins et Peter et Ellliot le Dragon. Je connaissais (et connais encore en partie...) bien entendu les chansons par cœur ("Supercalifragilisti..." ^^ )


    2. Groupe ou chanteur préféré ?

    Étrangement, je n'ai jamais vraiment écouté de groupe (non, ni les 2Be3 ni les Spice Girls). J'adorais en revanche la comédie musicale Notre-Dame de Paris, dont je chantais les chansons dans ma chambre (débuts années 2000, c'était Les Dix Commandements et Roméo et Juliette...).

    Côté chanteurs et chanteuses, comme beaucoup de petites filles, ça a été Britney Spears et Lorie... Ainsi qu'Hélène Ségara (mais je déborde encore sur le début des années 2000) (pour ce paragraphe, mes goûts ont bel et bien changé ! ^^)

    En fait, je ne me souviens pas vraiment de quel chanteurs j'écoutais dans les années 1990...et je n'ai pas eu de lecteur CD à moi avant mes 9 ou 10 ans.

     
    3. Bonbons ou gourmandises préférés ?

    Je raffolais des bonbons en forme d’œuf au plat, que je retrouvais à tous les anniversaires auxquels j'étais invitée, ainsi que des Chupa Chups !


    4. Jeu préféré ? 

    Pour les jeux de société : le jeu des 7 familles, le Qui-est-ce ?, Labyrinthe.

    Pour les autres, dans la cour de récré, il y a eu l'élastique, la corde à sauter, la marelle, les billes, les pogs, les cartes Pokémon.

    Pour les jeux seule ou avec mes soeurs ou les copains et copines : les poupées Barbie, les playmobiles (j'y ai énormément joué avec un voisin : on s'invitait chez l'un chez l'autre, on passait l'aprèm à mettre en place notre "décor", et lorsque nos parents venaient nous chercher, on n'avait pas encore commencé à jouer...), les petites voitures (avec un autre voisin ; mon père m'avait construit une mini-ville pour les voitures, avec un garage avec porte coulissante, un parking en hauteur avec une rampe d'accès, un tronçon de route happy), les rollers, les minis tracteur et voiture sur lesquels on pouvait monter (on dessinait une route sur le trottoir devant la maison, à la craie, avec des flèches, de feux tricolores, des lignes de dissuasions, etc.)

    et un tas d'autres jeux auxquels je jouais beaucoup (on savait s'occuper autrement qu'avec les jeux vidéos à l'époque haha), notamment les jeux "d'invention" (à la maman, à la dinette, aux indiens, aux pirates, etc.  haaa que c'était bien smile)


    5. Pire erreur vestimentaire/mode

    Le ras-du-cou en forme de tatouage (les fameux "tattoo") et une espèce de tee-shirt à frou-frou super extensible (je n'arrive pas à en trouver de photo sur le net, mais ce tee-shirt, non porté, était tout petit et formait des sortes de froufrou, et il pouvait s'étirer vachement une fois porté : ça vous dit quelque-chose ?).


    6. Livre favoris

    J'ai beaucoup lu de bouquins se passant à la période Antique pendant de nombreuses années (pas de titre favori spécifique) .

    Les deux premiers Harry Potter :-)

    La série des Martine (je les ai toujours ^^)

    J'ai été abonné pendant 4 ans à Moi je lis (je les ai tous encore également), ainsi qu'à d'autres revues pour enfants.

    Tomtom et Nana


    7. Magasin de vêtement préféré ?

    Je ne faisais pas de shopping dans les années 90 (et j'ai commencé à en faire seule avec des copines autour de mes 14 ans il me semble bien) : c'était ma mère qui choisissait pour moi, donc je ne peux pas citer de magasin de vêtement préféré.


    8. Qu'est-ce que tu collectionnais ?

    J'ai toujours eu au moins une collection en cours (encore aujourd'hui), et à l'époque, il y en avait 3, qui ont duré plus ou moins longtemps :

    - mes grands-parents maternels ont toujours beaucoup voyagé (moins aujourd'hui), et à chacune de leur destination, ils me ramenaient un petit souvenir, ce qui fait que je possède des objets d'un peu partout. J'ai ressorti une partie de cette collection pour vous ^_^

    - Petite, le dauphin était mon animal préféré ; j'en ai collectionné des figurines. Je les achetais lors de voyages ou mes parents ou grands-parents m'en ramenaient lors de leurs voyages à 2. En voici une partie :

    - Les petites boîtes (même méthode d'achat que les dauphins ^^) :


    9. Qu'est-ce que tu regardais à la télé en rentrant de l'école ?

    Oulah ! Je ne peux pas citer ici TOUS les dessins animés que je regardais en rentrant de l'école, ou bien les matin en week-end... Mais en gros, il y avait ce que passaient les Minikeums : Les Malheurs de Sophie, Batman, Albert le Cinquième Mousquetaire, Billy the Cat, Le Bus Magique, Il était une fois la Vie (et l'Histoire aussi), Célestin, Les Contes du Chat perché (avec notamment Delphine et Marinette), le Père Castor, Jumanji, Michel Strogoff, Starla et les Joyaux magiques, Tomtom et Nana, les Razmoket, Tortues Ninja, Albator, les Mystérieuses Cités d'Or, Princesse Sissi, Tom Sawer, Denver le dernier dinosaure, Les Voyages de Corentin,...et tant d'autres !

    Lorsque je regarde à nouveau les génériques de ces dessins animés, je m'en souviens tout de suite ! Que de souvenirs smile

    Allez, pour la forme wink2 :


    10. Combien de Tamagotchi as-tu réussis à garder en vie ?

    Aucun : je n'ai jamais eu de Tamagotchi !

     

    Vous avez grandi dans les années 90 ? Tout ça vous rappelle des souvenirs ? Je serais curieuse de voir vos réponses ;-)

     


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  • Encore une recette de dessert (oui, je vous engraisse !) ! Deux bananes étaient en train de noircir dans le panier à fruits sans que personne ne se décide à les manger. Au lieu de les perdre, je les ai incorporées à un gâteau au chocolat que j'ai improvisé ! J'ai trouvé le résultat très bon, mais des modifications seront à apporter une prochaine fois (je vous en ferai part après la recette).

     

    INGRÉDIENTS pour une dizaine de parts :

    -150 g de chocolat noir dessert + 40 g de pépites

    -110 g de beurre

    -3 oeufs

    -80 g de sucre en poudre

    -20 g de cassonade

    -de la cannelle en poudre

    -100g de farine

    -1/2 sachet de levure chimique

    -une pincée de sel

    -2 cs de lait 1/2 écrémé

     

    PRÉPARATION :

    -Préchauffer le four à 170°C

    -Faire fondre 150 g de chocolat

    -Faire fondre le beurre

    -Mélanger chocolat et beurre fondus

    -Dans un autre récipient, fouetter les œufs et le sucre (en poudre + cassonade) jusqu'à ce que le mélange blanchisse

    -Verser le chocolat/beurre dans les œufs/sucre

    -Ajouter de la cannelle (personnellement, j'adore la cannelle, alors je n'y suis pas allée de main morte ^_^)

    -Ajouter la pincée de sel

    -Hacher le chocolat restant en pépites (40 g ou plus) et les incorporer au mélange

    -Ajouter la farine et la levure

    -Couper grossièrement les bananes en rondelles, puis en demi-rondelles et les ajouter au mélange

    -Ajouter les 2 cuillères à soupe de lait

    -Verser la préparation dans un moule beurré et fariné

    -Mettre au four 40 minutes

     

    N.B. :

    Le résultat était donc très sympa, mais un peu trop gras à mon goût lorsqu'on tient sa part entre ses doigts. Voici les choses que je changerai la prochaine fois :

    -pas du tout de lait (j'ai voulu tester avec, mais pas concluant)

    -90 g de beurre au lieu de 110 g

    -Peut-être seulement 2 œufs au lieu de 3 ? (mais du coup, la quantité du gâteau changerait-elle de beaucoup ?)

    -Une cuisson plus forte, pendant moins de temps : 180°C, pendant une trentaine de minutes

    -Les pépites ne se sont pas senties ; en effet, elles ont fondu lors de la cuisson... Je ne vois pas comment faire sur ce coup.

     

    Voilà pour la recette ; tenez moi au courant si vous la testez wink2


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  • Aujourd'hui je vous fais part d'un dessert que j'ai fait hier pour l'anniversaire de mon homme ; on s'est bien régalés avec un fraisier simplifié.

    Je me suis inspirée de deux recettes différentes : l'une, pour la crème pâtissière, du blog Hervé Cuisine, qui filme les étapes de toutes ses préparations. L'autre provient en fait d'une astuce assez répandue : remplacer la génoise par des boudoirs.

    Voici donc la recette, que je me suis appropriée :

     

    INGRÉDIENTS pour 2 personnes :

    *Pour la crème :

    -1 jaune d'oeuf

    -25 g de sucre

    -20 g de maïzena

    -12,5 cl de lait demi-écrémé

    -2 bouchons d'extrait de vanille (ou une vraie gousse de vanille, ou du sucre vanillé)

    -1 feuille de gélatine

    -10 cl de crème liquide entière

     

    *Pour le reste du fraisier :

    -5 cl d'eau

    -40 g de sucre de canne

    -un bouchon de rhum

    -des boudoirs (type Mousse d'Or) - environ une douzaine

    -des fraises bien mûres

    -[2 petits cercles de pâtisserie (environ 8 cm de diamètre)]

     

    PRÉPARATION :

    *Crème pâtissière :

    ----1ère étape : (à faire au moins 3 à 4 heures avant le reste)

    -Dans un récipient, fouetter le jaune d'oeuf avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse

    -Y ajoutez petit à petit la maïzena tout en mélangeant bien

    -Dans une casserole sur le feu, mélanger le lait et l'extrait de vanille

    -Faite tremper 5 minutes la feuille de gélatine dans de l'eau froide, puis l'ajouter au lait et à la vanille. Laisser bouillir.

    -Verser le lait/vanille/gélatine dans le mélange jaune d'oeuf/sucre/maïzena. Bien mélanger.

    -Reverser tout de suite après l'ensemble dans la casserole sur feu moyen, en ne vous arrêtant pas de fouetter pendant environ 1min30-2min (pour éviter les grumeaux).

    -Une fois que le mélange s'est bien gélifié (une consistance pâteuse), le transférer dans un petit récipient et le couvrir au contact de film alimentaire (il faut que le film vienne bien toucher la pâte, sinon, à cause de l'air, une croûte se forme). Le mettre au frigo pendant 3-4 heures.

    ----2ème étape :

    -Verser la crème liquide entière dans un récipient. Les mettre 15 minutes (pas plus) au congélateur, ainsi que les fouets du batteur électrique (ou le fouet à main si vous avez la force !) : cela va aider la crème fouettée à mieux prendre

    -Fouetter la crème à l'aide du batteur, jusqu'à qu'elle prenne l'aspect de chantilly (il ne faut plus qu'elle coule lorsque vous inclinez le récipient). Attention, si la crème commence à jaunir, arrêtez-vous tout de suite ; vous êtes en train de faire du beurre ! (quelques tâches jaunes ne sont pas embêtantes pour la suite)

    -Sortir le résultat de la première étape de la crème du frigo : elle est devenue bien ferme.

    -Dans un récipient propre, mettre la première étape et une cuillère de la crème fouettée : les fouetter pour détendre la première étape. (Si la première étape est trop gélifiée et ne se mélange pas bien (s'effrite, fait des grumeaux), la passer, avec la cuillère de crème fouettée, au mixeur)

    -Puis, à l'aide d'une maryse, incorporer petit à petit le reste de la crème fouettée au résultat de la première étape.

    -Mettre le tout dans une poche à douille ou un sac plastique de congélation. Réserver au frigo.

     

    *Le reste du fraisier et montage :

    -Faire bouillir dans une casserole l'eau, le sucre de canne et le rhum. Laisser refroidir.

    -Dans 2 assiettes, disposer les 2 petits cercles de pâtisserie.

    -Tremper au fur et à mesure la moitié des boudoirs dans le sirop eau/sucre/rhum, les presser pour enlever l'excédent de sirop, et en tapisser le fond des cercles.

    -Laver les fraises, les couper en 2 ; les disposer, face coupée vers l'extérieur, contre le cercle, au-dessus des boudoirs (s'assurer qu'elles font toutes la même hauteur, en les raccourcissant si besoin est : il faut qu'elles soient moins hautes que le cercle).

    -Sortir la poche à douille du frigo (couper l'un des bouts de la poche de congélation) et mettre de la crème pâtissière entre chaque interstice des fraises. En mettre aussi au centre du cercle.

    -Ajouter quelques bouts de fraises au centre et recouvrir de crème.

    -Tremper le reste des boudoirs dans le sirop et en recouvrir le haut du cercle.

    -Décorer le dessus de morceaux de fraises [beaucoup de recettes décorent le dessus du fraisier avec un cercle de pâte à sucre ou de pâte d'amande pour que le résultat soit plus joli : n'aimant pas vraiment la pâte d'amande et trouvant le résultat déjà assez sucré, je n'ai pas voulu ajouter ce cercle, d'où l'aspect quelque peu spongieux du dessus de mon fraisier]

    -Mettre au frais pendant environ 2 heures, puis retirer les cercles. Déguster !

     


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